Un tiers des titulaires de doctorat issuEs des universités de l’Ontario sont dans des postes menant à la permanence quelque part dans le monde, et la moitié d’entre eux travaillent comme professeurEs au Canada, selon une étude réalisée par le Conseil ontarien de la qualité de l’enseignement supérieur (COQES). Les résultats, qui seront publiés plus tard cet hiver, présentent une image des résultats obtenus par les docteurEs du Canada qui diffère de celle qu’on a rapportée par le passé.
Martin Hicks, directeur du projet au COQES, a déclaré au Globe and Mail lors d’une entrevue récente que « nos recherches montrent que les titulaires de doctorat obtiennent de bons résultats, peut-être meilleurs que ce que la conversation populaire imagine. »
Hicks et la chercheuse principale Linda Jonker ont inclus des données présentant des diplôméEs qui travaillent partout dans le monde. Les chercheurs ont constaté qu’un autre tiers des docteurEs ont trouvé des emplois en génie, les soins de santé, la recherche scientifique ou le gouvernement. Hicks souligne que ces données sur l’emploi sont importantes parce qu’elles montrent que l’économie recherche avec empressement les compétences et les contributions des titulaires de doctorat.